lundi 9 août 2010

Comme un train (Como un tren) - Leon Gieco et Luis Gurevich

Je suis comme un train
Qui traverse les tempêtes en chemin vers le soleil
Je porte la marque de tous ces moments de liberté
Ou de prison, ou de prison.


Je suis comme un train
Qui traverse les tempêtes et va son chemin vers le ciel,
et je m’arrête près ou loin
Là où je le veux, là où je le veux.

Mon cour est nu en moi
Mais je pense l’habiller de ton amour
J’ai une chanson qui commence en moi
Je cherche à ce qu’elle se termine en toi.

Comme un miracle la pluie
M’a donné l’arc-en-ciel et l’eau de la rivière
Moi, par amour, je donne la vie, parce que de l’amour
Ma vie est née un jour, est née un jour.

Je suis comme un train
Qui traverse les déserts et tranche le calme en deux
Les portes de la raison fermées
Il n’y a plus ni larmes ni religion, ni religion.

Je suis comme un train
Qui traverse les feux et est en route vers les hauteurs
Il dort le voyageur qui éternise
Les luttes et les rêves.

Je tiens ta douleur qui se guérit
Et je dépose ma peine dans tes yeux
Je tiens ton espérance dans mes mains
Et je porte ta blessure dans ma voix.
Comme un miracle la pluie
M’a donné l’arc-en-ciel et l’eau dans la rivière
Moi je donne la vie par amour, parce que de l’amour
Ma vie un jour est née, un jour est née.

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